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Mosaïques d'Histoire (S)

Musée de la mémoire de Portet-sur-Garonne : Se souvenir pour espérer

Musée de la mémoire de Portet-sur-Garonne : Se souvenir pour espérer

Il y a 20 ans Elie Wiesel, prix Nobel de la paix inaugurait le musée de la mémoire de Portet-Sur-Garonne et invitait les visiteurs à « entrer dans le musée pour se souvenir et espérer ». C’est ce que vous propose, en cette journée nationale des héros et victimes de la déportation, l’œil de diane . « Le musée ouvrira exceptionnellement ses portes aujourd’hui de 14 h à 18 h et une visite en LSF (langue des signes française) est proposée à 15 h » précise Christophe Lefevre, en charge du patrimoine à la mairie de Portet-sur-Garonne. « En effet, le musée bénéficie du label tourisme et handicap pour les 4 déficiences motrice, auditive, visuelle, et cognitive et depuis le 13 avril, il est également labélisé qualité tourisme régional et national. » Les yeux de Christophe Lefebre expriment un grand bonheur à l’annonce de ces deux reconnaissances qui récompensent le travail accompli depuis 20 ans par la municipalité et l’association Mémoire Active du Récebédou. Le musée de la mémoire est né, dans le dernier baraquement d’un camp- hôpital , devenu à l’été 1942 , l’antichambre d’Auschwitz.

Hommage à Berty Albrecht

Pourtant en 1939, le Récébédou est une simple cité ouvrière qui devient dès juin 1940 un centre d’accueil et d’hébergement pour les réfugiés républicains espagnols , les populations civiles et les juifs contraints de fuir.

En février 1941, le Récébédou se transforme en camp-hôpital pour 1400 personnes et ne sera fermé qu’en septembre 1942 , après la lettre de Monseigneur Saliège. A la Libération , il devient « la villa Don Quichotte » et accueille des républicains espagnols rescapés du camp de concentration de Mauthausen . L’exposition permanente du musée retrace l’histoire de ce lieu et se voit compléter par l’exposition temporaire consacrée à la résistante, Berty Albrecht , co-fondatrice avec Henri Frenay du mouvement de résistance Combat et l’ une des rares femmes faites compagnon de la libération à titre posthume. Le musée sera également ouvert le

8 mai après-midi. Plus d’info sur www.portetsurgaronne.fr

 

 

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C
Durant les années 70 dans le cadre de mon activité professionnelle, j'étais salarié dans une petite entreprise de Toulouse, nous avions installé le chauffage central dans un wagon à demeure, le maître des lieux était handicapé si mes souvenirs sont bons, c'était peut être le wagon qui reste aujourd'hui ? A l'époque je ne m'étais pas posé de question sur le pourquoi de ce wagon, ! aujourd'hui je comprend mieux . Merci Diane .de nous rappeler ces moments si précieux de l'histoire de notre Pays .Cordialement .
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D
Merci à toi Freddy . Cela m'encourage à poursuivre.<br /> Tu viendras les 12 et 13 mai à Pins-Justaret ? Tu as reçu mon invitation ?<br /> bises